Une nouvelle année commence, profitons tant qu'on respire ! [Alan] [TERMINÉ]

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Ciel venait de se réveiller d'un long sommeil inconfortable, il lui fallut quelques secondes pour réaliser où elle se trouvait mais, le son des rails et la vapeur blanche par la fenêtre lui parurent limpide : l'express de Poudlard bien sûr ! Ce matin-là elle s'était levée plus tôt que t'habitude, le soleil réchauffait à peine l'atmosphère matinal, la rosée brillant encore sur les feuilles des arbres du jardin, le centre de Londres se réveillait à peine. Lorsqu'elle fut prête à partir elle embrassa une dernière fois son père déjà très occupé et suivi le majordome, Ikar, jusqu'à la porte. Là elle fit une pause, le temps pour Ikar de prendre les dernières affaires et d'ouvrir la porte, le vent frais sur ses jambes dénudées ne la dérangea pas, elle jeta un dernier regard à sa maison, un geste presque exagéré, car au fond elle l'atmosphère pesante qui régnait lui devenait chaque jour un peu plus insupportable. Une fois dans la voiture elle visionna mentalement sa valise pour être sûr de n'avoir rien oubliée. Le son du moteur de la Mercedes Benz lui parut être la musique la plus douce de la matinée. A telle point qu'elle lâcha un soupir profond qui inquiéta Ikar :

-Tout va bien mademoiselle ?
- Oui très bien merci, pourquoi cette question Ikar ?
-Votre soupir m'a surpris, souhaitez-vous que je conduis moins vite ?
-Non je t'assure tout va très bien. C'est juste que...
-Oui ?
-Non rien oublis. Et puis tu sais que ta conduite est la meilleure je connaisse !
-Merci mademoiselle, Ciel.

La voiture filait dans les rues encore endormies de Londres, Ciel se sentait bien avec Ikar et puis il faut bien l'avouer il est pas mal du tout, mais trop droit et fidèle envers son père qu'il ne vaut même pas y penser. La voiture s'arrêta juste devant les portes de la gare, après avoir déchargé les bagages de Ciel et un léger coup de tête pour simple adieux Ikar se remit au volant, démarra et laissa seule Ciel. Habituer aux adieux peu affectifs elle se dirigea vers le quai 9/3, l'odeur du café et des croissants chauds lui chatouilla les narines, jetant un regard furtif à l'horloge centrale elle se dirigea vers un café tout juste ouvert.

*Etrangement j'ai de l'avance* ironisa-t-elle intérieurement

-Bonjour vous souhaitez ?
-Un chocolat et un croisant à emporter s'il vous plaît.
-Voilà. 3£10 s'il vous plaît mademoiselle.
-Et voici madame, merci bonne journée à vous.
-Merci vous aussi !

Traversant le hall principal en direction du quai, elle tendit l'oreille au moindre bruit, le bruissement des ailes d'un oiseau, les rideaux de fer qui s'ouvrent, les escalators, le bruit naissant des voitures. Arrivée devant le pilonne elle jeta un coup d'oeil de chaque côté puis traversa. Là aucun train pas même un bruit que du calme, mais une personne dont Ciel ne pensait pas revoir de si tôt : Ikar, assis tout seul sur un banc, il fut surpris de la voir et se précipita pour l'aider.

-qu'est-ce que tu fais là Ikar ?
-ben...en fait...disons que ma mission est de veiller sur vous mademoiselle Ciel et vous laissez seule dans une gare n'est pas une très bonne idée...bah...me voilà !
-je vois.
Un silence
-J'ai acheté ça, tu en veux ?
-Non merci mademoiselle.
-Appelle-moi Ciel je crois que s'est suffisant.
-d'accord...Ciel.

Après avoir attendu une bonne petite heure le moment de vrais séparations sonna, Ikar n'avait pas besoin de dire quoi que soit Ciel avait devinée la véritable raison de sa présence et pour disons « le remercier » elle l'embrassa sur la joue, ce qui, à sa réaction le surpris agréablement. Une fois le train démarré la seule chose que souhaitait Ciel s'est d'être à Poudlard loin de tout, enfin surtout de son père.

****

Poudlard fessait face à présent, ces hauts murs de plusieurs siècles, sa toiture sombre qui a dû voir plus d'une tempête, ces dédales de couloirs pleins de courant d'air et ces livres poussiéreux qui regorgeaient de magie en attente dans la bibliothèque. Mais cette école n'était pas que ça pour Ciel, s'était également le lieu dans lequel elle se sent le mieux avec ses amis, la magie et bien sûr ses « secrets de fille ». Elle avait hâte de revoir tout ça, de sentir l'humidité, le bois et le feu de cheminée dans la pièce principale de Serdaigle, sa maison d'accueille. Une fois dans l'école elle se dirigea instinctivement dans le labyrinthe de couloirs similaires en direction des dortoirs, croisant des élèves arrivés avant elle, leurs souriant pour les saluer mais, aucun signe de ses amis, à près tout étaient-ils déjà là ? Une fois là haut elle ne perdit pas de temps elle rangea ses affaires dans l'armoire à sa disposition et cacha sa valise sous son lit, alors qu'elle souhaitait laisser sortir Faer, son chat, celui-ci s'était déjà trouvé une place confortable sur son oreiller, comment avait il fait ? Après avoir câlinée le félin quelques secondes Ciel décida de redescendre dans la pièce centrale pour alumer un feu. Elle dévala l'escalier et dût s'arrêter précipitament et de justesse pour éviter un élève qui se trouvait dos à elle.

-Euh... bonjour ! Tout sourire.

Alan contemplait, par la fenêtre de la Salle Commune des serdaigle, le spectacle plaisant du coucher de soleil qui donnait en plein sur le Lac de Poudlard. Les couleurs indéfinissables se mélangeaient et donnaient l’impression de planer dans le ciel. Au loin, au-delà des montagnes, Alan pouvait déjà apercevoir le ciel nocturne qui prendrait bientôt la place du coucher de soleil.

Le dîner était terminé depuis quelques minutes et ses amis l’avaient laissé à l’entrée de leur salle commune pour partir ailleurs. Il ne leur en voulait pas de le laisser seul, au contraire. Il appréciait contempler une scène comme celle qu’il avait présentement sous les yeux quand il se retrouvait seul. Bien sûr, il n’était pas vraiment seul, quelques élèves de 1ère et de 2ème année faisaient leurs devoirs ou étudiaient en vue d’un test surprise. Alan regarda dans leur direction. Ils s‘étaient installés sur la grande table au milieu de la salle où le silence régnait en maître et avaient éparpillé leurs affaires un peu partout. Alan n’avait pas de souci de ce côté-là, ses devoirs étaient déjà faits depuis longtemps. C’est pour cette raison qu’il s’abandonnait dans un coin de la salle pour observer un magnifique paysage qui amènerait prochainement à la nuit. Il reporta son regard vers la fenêtre et constata que durant les quelques secondes qu’il avait passées à observer les élèves le ciel s’était fort assombri. La nuit ne tarderait plus désormais…
Il se détacha de la fenêtre et décida qu’il était temps pour lui de rejoindre son dortoir. Il se dirigea vers les escaliers qui menaient aux dortoirs des filles et des garçons. Un couloir séparait les deux sections : les filles se trouvaient à droite et les garçons à gauche. Aucun garçon n’avait encore tenté de s’aventurer dans la section des filles. Un sortilège bien pensé devait surement être installé pour punir les garçons aventureux et désirant voir une fille !

Alan était déjà bien haut quand il se rendit compte qu’il avait oublié sa cape d’étudiant sur le fauteuil près de la fenêtre. Il fit demi-tour et redescendit les escaliers. Un petit bonjour le fit presque dévaler les escaliers jusqu’en bas mais il se retint à temps à la rampe. Il fut surpris car il n’avait aperçu personne quand il montait les marches. Surpris par cette soudaine apparition, il se retourna lentement tout en se tenant à la rampe et vit une fille de son année lui sourire gentiment. Il lui répondit à son tour.

- Bon.. bonsoir ! s’écria t-il toujours surpris.

La fille souriait toujours mais Alan, lui, ne souriait pas. Il avait eu la peur de sa vie. S’il était tombé des escaliers que ce serait-il passé ? Se serait-il cassé une jambe ? Une cheville ? Un bras ? Qu’aurait-il fait après cet incident ? Pour lui la réponse était simple : adieu de Quidditch et ses parties fantastiques ! Mais il ne voulait pas y penser maintenant.

- Tu m’as fait peur ! j’ai cru que j’allais dévaler les escaliers et me rompre le coup ou pire me casser une jambe ! dit-il sous le coup de la colère.

La jeune fille en face de lui perdit son beau sourire et ses yeux se posèrent sur les marches. A ce moment là, Alan constata qu’il se trouvait toujours dans une position critique et décida que le mieux était de redescendre pour plus de sécurité. Il ne regarda même pas si la fille le suivait et s’affala dans le fauteuil le plus proche en se tenant la poitrine où il sentit son cœur battre la chamade suite au choc qu’il venait de subir.

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Un peu surprise de la réaction du jeune Ciel resta immobile le suivant du regard, elle finit par le survivre lorsqu'elle sortie de son état second. Elle observa Alan affalé dans un des gros fauteuils, elle se souvenait de l'avoir vue jouer au Quidditch, un excellent joueur d'ailleurs, ce qui lui permis de comprendre pourquoi sa jambe était plus importante que sa propre vie. Elle réussit à articuler un petit « Désolé, je ne voulais pas t'effrayer ! ». Lorsqu'elle vit le manteau de la cheminée elle se rappela la raison première de retourner dans la salle commune, elle sortie sa baguette de sa poche arrière de son pantalon et d'un geste sûr elle alluma un feu crépitant.

« Tu dois être Alan. Je me souviens que tu es un très bon joueur .... »

Elle n'eut pas le temps de finir sa phrase qu'une bande de filles de 6 ième années qui se prenaient pour des reines, les mains chargées de paquets. D'après leur bruyante conversation il semblerait qu'il s'agisse des robes et le matériel pour le bal. L'un d'elle jeta un regard moqueur et chuchota à l'oreille de celle qui semblait être la reine des pouffs, celle -ci se retourna relooka de bas en haut Ciel, qui était acroupit près du feu, et se mit à ricaner avec le reste de la troupe.

Hors d'elle, Ciel se leva d'un coup et se dirigea vers la « chef » mais une main lui agrippa solidement le poignet. C'était Alan il rajouta une vérité en direction du groupe ce qui les calma ainsi que Ciel. Une fois le groupe monté dans le dortoir Ciel se dirigea vers la fenêtre.

« Tiens il fait déjà nuit ? »

A peine la phrase finit qu'un profond parvient du fond de l'estomac de Ciel, elle avait complément oublié que son dernier repas remontait au déjeuner.

Alan entendit quelqu’un s’assoir dans le fauteuil situé à côté du sien. En face, il y avait la cheminée qui n’était pas encore allumée. Un courant d’air froid le toucha et il eut quelques frisons. Il était étonné qu’aucun élève n’avait pensé à allumer un feu pour réchauffer la pièce. A peine cette pensée lui eut effleuré la tête que la personne assisse à côté de lui se leva et s’accroupi avec sa baguette à la main pour allumer un beau feu d’un mouvement leste du bras. Il tourna sa tête et rencontra la fille de l’escalier qui avait manqué de peu de le faire tomber. Cette dernière prit la parole. Elle le connaissait, elle l’avait déjà vu jouer au Quidditch mais lui ne se souvenait que vaguement d’elle. Après tout, il ne s’intéressait pas aux filles alors leurs prénoms lui importaient peu. Elle suspendit sa phrase à la venue plutôt bruyante de filles de 6ème année. Elles tenaient toutes des cartons très colorés et parlaient vivement en pouffant. Alan leva les yeux au ciel en les entendant rire comme des petites filles. Le genre de filles que Alan détestait.

La fille toujours accroupie se leva vivement et voulu se diriger vers l’une des filles de la bande mais Alan la rattrapa par son fin poignet. Un geste instinctif pour éviter à la jeune fille des représailles à l’avenir.

- Ne fais pas trop attention à elles, elles n’en valent pas la peine ! lança-t-il.

Les filles levèrent leurs têtes et passèrent près d’eux pour monter dans leur dortoir avec leurs boîtes. Alan sentit qu’il tenait toujours le poignet de la fille dans sa main, il le lâcha et tourna sa tête dans une autre direction. Il ne voulait pas croiser le regard de la jeune fille dont il ne savait plus le nom. Elle était pourtant dans sa classe !
La fille se releva et se dirigea vers la fenêtre – la même qu’il avait quittée auparavant.

- Oui, il fait déjà nuit. Tout à l’heure j’ai observé le ciel couchant, il était magnifique avec ses couleurs, répondit-il.

Au mot « ciel » il retrouva le nom de la fille. Il savait que son nom n’était pas compliqué !

- Tu te nommes Ciel, n’est-ce pas ? sourit-il, content d'avoir retrouvé le prénom de la jeune fille.

La fille se retourna sur lui et lui rendit son sourire.

- Excuse-moi pour tout à l’heure, je me suis emporté dans les escaliers… Tu ne m’en veux pas ? A l’avenir, fais plus attention quand tu descendras des escaliers ! termina t-il en souriant.

Alan contempla le feu en face de lui, les flammes changeantes procuraient en lui un effet très reposant qui était le bienvenu en cette fin de journée !

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Ciel resta un instant à regarder le ciel nocturne puis vint se réassoir sur le canapé.

"Tu as raison je devrais faire plus attention excuse moi encore." puis elle lui sourit gentillement, mais lui observait le feu comme absorbé par le feu.

Ils restèrent dans le silence à observer le feu qui consumait petit à petit chaque parcelle des bûches. Ce qui fit sortir Ciel de ses rêveries vue le tintement de l'horloge à pendule qui indiquait 20h30.

"Il est déjà 20h30 !? Je n'ai vraiment pas vue le temps passer, se fut très agréable." Elle salua Alan qui semblait surprit par sa démarche et se dirigea vers l'escalier et donc le dortoir. Au moment de gravir la première marche elle s'arrêta, fit demi tour sur elle-même et se dirigea vers Alan toujours assit. Là sur les genoux, confortablement installé, une boule de poil, sa boule de poil qui se fessait câliné par Alan.

"Dit donc toi, ça va je ne dérange pas ?" en parlant à Faer.

"Excuse là elle est très mal élevée." En adressant un sourire génée à Alan.

Alan était toujours dans sa rêverie quand la jeune fille parla disant qu’elle ferait attention la prochaine fois. Un silence pesant pris place à partir de ce moment. Seul le crépitement des bûches résonnait vaguement dans la pièce. Le bruit soudain de la pendule annonçant 20h30 sortit les deux élèves de leur contemplation des flammes. Alan n’en revenait pas. Déjà 1 heure qu’il était là, dans ce fauteuil. Déjà 1 heure que Ciel lui parlait. Déjà 1 heure qu’il pensait à quelque chose, quelque chose qui pourrait arranger le problème qui le rongeait depuis plus d’une journée : le bal. Pas que le bal en lui-même fut un problème, mais plutôt sa cavalière. Enfin EX-cavalière. Cavalière qui s’est elle-même désistée prétextant qu’elle ne voulait plus y aller avec lui. Il ne savait pas clairement ce qu’il avait fait, ils étaient assez proches et très impatients d’être au bal. Mais la veille au soir, Erasmia l’avait pris à part dans un coin de la salle et lui avait clairement dit qu’elle ne voulait plus y aller avec lui. Sur le moment, il fut sur le choc mais à y repenser il trouvait qu’elle avait eu raison. Pour cause, il l’avait vu faire les yeux doux à Black répondant à ses réflexions muettes. La déception de voir qu’un Gryffondor avait pris sa belle fut très forte mais après tout il ne pouvait pas lui en vouloir. Le bal était le meilleur moyen de se rapprocher de la personne qui nous plait et Era avait juste envie de se rapprocher de Black. Quoi de plus naturel ? La seule chose qui dérangeait Alan fut qu’il se retrouvait seul et ne pas aller au bal ne faisait pas partie du programme. Il voulait y aller, coûte que coûte.
La solution à son problème se trouvait présentement devant lui, dans un fauteuil. Tout à ses réflexions, il ne s’était pas rendu compte qu’une petite boule de poils s’était pelotonnée sur ses genoux et qu’il lui prodiguait les plus douces caresses. Il sortit de ses pensées en entendant la jeune fille s’excuser pour le comportement de son animal.

-Oh, ne t’inquiète pas, elle ne me dérange pas ! J’aime les animaux et elle est très câline.

Ciel le regarda en souriant. Elle se remit en face de lui tout en regardant son chat ronronner de plaisir. Alan trouva ce moment idéal pour la résolution de son « problème ».

-J’ai quelque chose à te demander, Ciel. Je vais peut-être me prendre un savon ou autre chose mais tant pis, je vais me lancer !

Ciel le regarda, intriguée et attentive.

-Est-ce que cela te dirait de venir avec moi au bal d’Halloween ?

Alan la regarda dans les yeux, attendant sa réponse, le tic toc de l’horloge résonnant en même temps dans sa tête. Elle était son dernier espoir !

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Ciel le regarda en souriant. Elle se remit en face de lui tout en regardant son chat ronronner de plaisir.

-J'ai quelque chose à te demander, Ciel. Je vais peut-être me prendre un savon ou autre chose mais tant pis, je vais me lancer !

Ciel le regarda, intriguée et attentive.

-Est-ce que cela te dirait de venir avec moi au bal d'Halloween ?

Alan la regarda dans les yeux, attendant sa réponse, le tic toc de l'horloge résonnait dans la pièce. Un peu surprise Ciel hésita un instant après tout c'était Alan Jones pas un vulgaire Serdaigle, bien au contraire. Quand elle se souvient qu'elle avait entendu des bruits de couloir comme quoi Erasmia avait préféré un Black à Jones. Le crépitement d'une bûche cédant la révailla de ses pensées.

- Euh...mais pourquoi moi ?

Ciel le regarda sincèrement, car après tout il y avait d'autres filles qu'elle comme les dindes bruyantes précédentes qui fantasme à l'idée même qu'Alan soit dans la même pièce qu'elles. Ciel pouffa de rire lorsqu'elle imagina la tête de "ces demoiselles" quand elles l'a verrons au bras de leur idole. Elle remarqua qu'Alan l'observait bizarrement.

-Excuse moi ce n'est pas de toi dont je rigole mais d'une idée plutôt alléchante. Sache que je serais ravis d'aller au bal avec toi !

Une jeune fille élancée passa derrière Alan, Ciel l'a remarqua plus que les autres, car s'était une de ses amies Rafaelle, elle adressa un petit geste de la main et un large sourire. Rafaelle indiqua les dortoirs à Ciel qui acquiesça.

- Je te laisse, bonne soirée...Oh et si tu sens une présence ce soir c'est juste Faer qui viendra te voir.

Elle finit par un clin d'oeil et disparue dans les escaliers laissant Alan et Faer seuls.

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